Selon le chercheur Bernard Hourcade, “l’émotion (ndlr: des démocraties occidentales) c’est très bien, mais ce sont des larmes de crocodiles s’il n’y a pas une action qui succède”. Il estime que l’Occident est “largement responsable de l’arrivée des radicaux en Iran” et qu’il doit aujourd’hui aider à l’ouverture économique du pays pour “changer les choses” en Iran.