En Irak, huit mois après les élections législatives, la crise politique s’aggrave. Moqtada Sadr, qui a remporté 73 sièges au Parlement, a annoncé la démission de ses députés la semaine dernière, après avoir failli à former un gouvernement seul. Depuis, la confusion est totale en Irak. Le pays peut-il être gouverné sans l’influent clerc chiite ? Notre correspondante en Irak, Lucile Wassermann, est allée à la rencontre, entre autres, de sa base partisane.