Le 15 avril 2019, un gigantesque incendie ravageait la célèbre cathédrale de Notre-Dame-de-Paris, provoquant l’effondrement de sa charpente, de sa fameuse flèche, de son horloge et d’une partie de sa voûte, ravagées par les flammes, sous le regard médusé de millions de personnes à travers le monde. Le chantier titanesque devant la restaurer devrait s’achever en 2024, selon le délai fixé par le président Emmanuel Macron.
Trois ans après l’incendie qui l’a dévastée, Notre-Dame-de-Paris a retrouvé sa blancheur d’origine grâce au travail quotidien d’une armée d’artisans au cœur d’une forêt d’échafaudages pour sa réouverture toujours prévue en 2024.
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Le chantier titanesque a commencé dès avril 2019 par la “sécurisation” de l’édifice. Une “étape majeure” sous haute sécurité qui s’est achevée à l’été 2021, pour un coût global de 151 millions d’euros.
La catastrophe avait suscité un élan de générosité sans précédent, avec près de 844 millions d’euros de dons recueillis auprès de 340 000 donateurs de 150 pays à ce jour, selon l’établissement public chargé du chantier de restauration.
Parallèlement aux travaux en cours dans la cathédrale, des travaux de restauration se poursuivent dans des ateliers de métiers d’art partout en France.
Avec AFP