À seulement 25 ans, l’Australienne Ashleigh Barty, numéro 1 mondiale de tennis et trois titres du Grand Chelem en poche, tire sa révérence au plus haut de sa gloire.
La N. 1 mondiale de tennis Ashleigh Barty a créé la surprise en annonçant sa retraite à seulement 25 ans, mercredi 23 mars dans un message vidéo.
“Aujourd’hui est une journée difficile et remplie d’émotion pour moi parce que j’annonce ma retraite du tennis”, a déclaré l’Australienne sur Instagram.”Je suis tellement heureuse, et je suis tellement prête et je sais juste maintenant dans mon cœur qu’en tant que personne, c’est la bonne décision”, dit-elle, en larmes, aux côtés de son ancienne partenaire de double Casey Dellacqua.
A career that has inspired the world 💙
Thank you @ashbarty, for everything. We wish you the best in your retirement, and we’ll always be here cheering you on for the next chapter.
Forever a champion 🏆 pic.twitter.com/eMv9ABhKB8
— #AusOpen (@AustralianOpen) March 23, 2022
Numéro un mondiale depuis 2019, elle a remporté trois titres du Grand Chelem en simple, à Roland-Garros en 2019, puis à Wimbledon en 2021 et à l’Open d’Australie cette année. Elle était devenue en janvier la première championne locale en 44 ans à remporter l’Open d’Australie, rejoignant le club exclusif des couronnées du Grand Chelem sur trois surfaces différentes.
“Je suis tellement reconnaissante pour tout ce que le tennis m’a donné, il m’a donné tous mes rêves et plus encore”, a ajouté la championne. “Mais je sais que le moment est venu pour moi de m’éloigner, de poursuivre d’autres rêves et de poser les raquettes.”.
“Merci d’avoir été une incroyable ambassadrice pour ce sport et pour les femmes du monde entier”, a tweeté la Women’s Tennis Association (WTA). “Tu nous manqueras beaucoup, Ash”.
Barty, une des joueuses les plus respectées et les plus aimées du circuit, est rapidement devenue la meilleure, avec son étourdissant éventail de slices, ses services précis et son coup droit sans faille. Elle s’est fiancée l’année dernière à son petit ami de longue date, Garry Kissick, toujours présent sur le terrain lorsqu’elle jouait.
Avec AFP