À partir de 2021, le gouvernement vient d’annoncer que la France va pousser vers une économie plus verte et bannir les chauffages en terrasse aux restaurants et aux bars.
Barbara Pompili, la ministre de la transition écologique, a annoncé ce lundi que cette mesure fait partie d’un grand passage rapide à une économie à faible émission de carbone.
« On ne peut pas climatiser la rue en plein été lorsqu’il fait 30 degrés et on ne peut pas non plus chauffer à plein régime des terrasses en plein hiver lorsqu’il fait 0 degré pour le simple plaisir de boire son café en terrasse en ayant chaud, » elle a conclu.
Il y a un mois depuis les membres du Convention citoyenne pour le climat, un assemblé crée par Macron, ont proposé d’aborder ce thème et beaucoup plus pendant une réunion il y a un mois.
« Il est essentiellement une question du gaspillage d’électricité et de gaz naturel. » affirmé des éco-activistes.
Cependant, cette interdiction a rencontré de forte opposition. La maire de Paris défend la comptabilité des restaurations affectés, disant qu’une prohibition serait trop coûteuse pour le revenu des restaurants et cafés partout à Paris.
En effet, cette nouvelle mesure touche un secteur qui déjà souffre énormément à cause de la crise alors, le gouvernement a aussi inclus qu’il va résister l’implémentation jusqu’à la fin de l’hiver pour avoir une période d’adaptation pour les entreprises concernées.
La ministre de l’environnement a poussé que nous allons devoir nous occuper une crise écologique après cette crise sanitaire actuelle.
Quelques métropoles comme Rennes, ont déjà implémenté cette nouvelle norme « verte ».
En juin, Président Macron a aussi promis un financement de € 15 milliards pour des propositions vertes.
Pourtant, les nouvelles mesures n’ont pas été reçues avec beaucoup d’enthousiasme.
Clément Sénéchal, porte-parole de Greenpeace France, a répondu avec ce commentaire,
« (l’annonce) n’est conforme ni avec les propositions de la @Conv_Citoyenne pour le #climat, ni avec les promesses électorales d’Emmanuel Macron, ni avec les impératifs liés au dérèglement climatique. »
Pompili affirme que l’interdiction ne signifie pas les restaurants seront laissés pour compte. Le gouvernement va les accorder comment gérer et intégrer la mesure.